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Billet de 500 dollars canadien

Découvrez le billet de 500 $ canadien : le papier-culotte secrète des castors millionnaires (et comment en trouver un sous votre coussin)


Billet de 500 dollars canadien : Histoire et Disparition d’une Coupure Mythique

Imaginez un billet si puissant qu’il pouvait acheter un petit bateau, une année de loyer à Montréal dans les années 80, ou… 10 000 sachets de sirop d’érable en vrac. Le billet de 500 dollars canadien, émis pour la première fois en 1935, était la rockstar discrète des portefeuilles. Avec son portrait de Sir John A. Macdonald (plus tard remplacé par la reine Elizabeth II en 1954), il avait l’élégance d’un smoking et le mystère d’un agent secret. Pourtant, son existence ressemblait à une blague bureaucratique : qui avait vraiment besoin d’un billet pour acheter une maison en liquide ?

Le « Papillon des Neiges » et Autres Surnoms Étranges

Surnommé affectueusement « Le Papillon » par les collectionneurs – à cause des motifs complexes sur ses bords, pas parce qu’il s’envolait facilement –, ce billet était aussi rare qu’une licorne en patins à glace. Les légendes urbaines racontent que certains en possédaient un “juste au cas où les extraterrestres exigeraient un paiement en espèces”. Et pourtant, sa réputation de « billet des truands » lui collait à la peau comme de la neige fondue sur des mitaines.

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La Disparition : Adieu au Roi des Billets

En 2000, la Banque du Canada a décidé de lui donner une retraite anticipée, officiellement pour “lutter contre le blanchiment d’argent et les activités louches”. Traduction : il était trop cool pour rester dans un monde où les paiements mobiles existent. Les derniers billets ont cessé d’avoir cours légal en 2021, laissant derrière eux des anecdotes surréalistes :

  • Un couple de Toronto qui en a trouvé un coincé dans un vieux livre de recettes de poutine.
  • Un fermier albertain essayant de payer son tracteur… avec 17 billets de 500 $ sortis d’une boîte de conserve rouillée.

Aujourd’hui, le billet de 500 $ est devenu un objet de folklore, comme les chaussettes perdues dans la sécheuse ou les promesses électorales tenues. On murmure qu’il dort paisiblement dans des coffres-forts, entouré de pièces en or et de polar bears en smoking. Resquiescat in pecunia.

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Billet de 500 dollars canadien : Mythes, Réalités et Risques Associés à cette Coupure Raréfiée

Le Mythe du « Crypto pour Grand-Père »

Le billet de 500 $ canadien est souvent traité comme une légende urbaine “Si tu en trouves un, vérifie s’il y a un motard nommé Wolverine derrière toi”. Certains prétendent qu’il servait à acheter des montagnes de sirop d’érable en gros (*pour survivre à l’apocalypse polaire*), d’autres qu’il était imprimé sur du vrai cuir de caribou. La réalité ? C’est juste un bout de papier, mais tellement rare qu’il pourrait être la monnaie préférée des licornes en vacance à Banff.

Réalité : Entre Collectionneurs et Machines À Sous Déçues

Mis en circulation en 1935 et discontinué en 2000, ce billet existe bel et bien – mais le voir en vrai est aussi probable que de tomber sur un ours polaire en Floride. Les rares exemplaires restants :

  • Dort dans des coffres de collectionneurs (ou sous l’oreiller de quelqu’un qui a peur des distributeurs automatiques).
  • Utilisé comme presse-papier par des comptables nostalgiques de l’ère pré-digitale.
  • Rejeté par les caisses enregistreuses modernes, qui le confondent avec un coupon rabais extraterrestre.

Et oui, il est toujours légal… mais essayez de l’utiliser pour acheter un café. *Spoiler* : le serveur appellera son arrière-grand-mère pour vérifier.

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Risques : Un Aimant à Problèmes (Et Quelques Sourcils Levés)

Posséder un 500 $ canadien, c’est comme transporter un grille-pain en or dans un quartier de chatons voleurs. Risques incluent :

  • “C’est une contrefaçon !” → Même les caissiers expérimentés penseront que vous avez imprimé le billet dans votre cave.
  • “On peut vous le voler… poliment.” → Un sourire canadien, un “désolé”, et hop, votre billet disparaît dans une poche en cuir.
  • “Investissement ou embarras ?” → Les collectionneurs paieront une fortune, mais votre banquier vous proposera une thérapie.

Bref, ce billet est le cold hard cash équivalent d’un Yeti : tout le monde en parle, personne ne sait vraiment quoi en faire. Et si vous en trouvez un, gardez un extincteur à portée – les regards envieux pourraient déclencher un incendie.

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