Conjugaison du verbe vivre : tableau complet des temps (présent, passé, futur)
Présent : Là où le verbe se sent ✨vivant✨
Ah, vivre, ce verbe qui danse sur les langues comme un dragster sur un sucre glace. Au présent, il se conjugue avec l’enthousiasme d’un écureuil découvrant une réserve infinie de noisettes :
- Je vis (comme un roi… ou un étudiant en dosettes de café)
- Tu vis (souvent entre deux rendez-vous Zoom)
- Il/elle vit (parfois en mode « plante verte » le dimanche)
- Nous vivons (en colocs, unis par le frigo partagé)
- Vous vivez (avec panache, ou du moins un agenda surchargé)
- Ils/elles vivent (dans un mélange de chaos et de routines TikTok)
Passé : La machine à remonter les émotions
Au passé, vivre devient nostalgique, comme une cassette VHS mal réenroulée. Deux catégories s’affrontent :
- Passé composé : J’ai vécu (une fois, j’ai mangé un kebab à 4h du matin… gloire éternelle).
- Imparfait : Je vivais (quand j’avais le temps de regarder les nuages en forme de licorne).
Attention à l’auxiliaire avoir, qui traîne ici comme un témoin gênant d’une soirée trop arrosée. « Oui, j’ai vécu des choses… mais non, je ne signerai pas de dédicace. »
Futur : Demain, on vivra… mais où sont mes clés ?
Le futur de vivre, c’est l’espoir d’une vie meilleure… ou juste l’espoir de retrouver ses clés. Conjuguez avec l’optimisme d’un hamster croyant échapper à sa roue :
- Je vivrai (probablement en pyjama)
- Tu vivras (avec une plante qui survivra, cette fois)
- Il/elle vivra (en ignorant superbement les mails professionnels)
- Nous vivrons (idéalement près d’une boulangerie)
- Vous vivrez (avec style, ou au moins un parapluie)
- Ils/elles vivront (en promettant de « ranger le garage un jour »)
Notez le « rai » final, qui sonne comme un synthétiseur des années 80 : futuriste, mais un peu kitsch. Et si vous vous trompez ? Vivre est aussi le verbe de l’indulgence… ou de l’autodérision assumée.
Comment conjuguer le verbe vivre sans erreur ? Astuces et exemples concrets
Conjuguer « vivre », c’est un peu comme essayer de faire du vélo à une roue sur un fil tendu au-dessus d’un lac de… fromage fondu. Ça semble périlleux, mais avec les bonnes astuces, on évite la chute (et le drame lacté). Commençons par une vérité choquante : vivre est un verbe du troisième groupe qui a décidé de ne pas suivre les règles comme un élève qui dessine des licornes en cours de mathématiques. « Vivre » est irrégulier, mais pas méchant – enfin, pas trop.
1. Présent de l’indicatif : où est passée la logique ?
- Je vis (comme un roi, ou comme un étudiant en rade de cafétéria).
- Tu vis (sans « e » à la fin, sinon ça devient « tu vies » et on dirait que tu parles de moineaux).
- Il/elle vit (attention à ne pas écrire « vie », sinon on croirait qu’on commente une série Netflix).
- Nous vivons (la terminaison « -ons » est là, comme un clin d’œil à mangeons, sauf qu’ici, on vit en mangeant des croissants).
Truc imparable : Imaginez que le verbe se transforme en citron pressé. Au présent, il perd son « re » partout… sauf à « nous » et « vous », où il garde un petit zest. Exemple concret : « Nous vivons dans un monde où le café est une devise » (phrase valide en 98% des réunions Zoom).
2. Passé composé : l’allié (presque) sans surprise
Ici, « vivre » s’accroche à l’auxiliaire avoir comme un koala à un eucalyptus. « J’ai vécu », « tu as vécu », « il a vécu »… Simple, non ? Sauf si vous tombez dans le piège du participe passé : « vecu » n’existe pas, c’est « vécu », avec un accent grave qui fait toute la différence. Exemple concret : « J’ai vécu un épisode de Koh-Lanta en cherchant mes clés ce matin » (spoiler : les clés étaient dans la poche).
Petite astuce manga : Visualisez l’accent comme un sourcil levé de professeur exaspéré. Pas d’accent = faute grave. Vous voilà prévenu·e.
3. Futur simple : quand la phonétique s’en mêle
Au futur, « vivre » devient « je vivrai » (pas « je vivreai », ça c’est pour les robots qui n’ont pas lu la notice). Attention à l’orthographe ! « Vivrai » s’écrit sans « e », comme un SMS envoyé à 2h du matin après trois cafés. Exemple concret : « Demain, je vivrai ma meilleure vie… ou je ferai la sieste. Les deux sont compatibles. »
Dernier conseil (un peu absurde) : Pour ne pas oublier la conjugaison, imaginez que chaque faute fait vieillir votre plante verte d’un mois. La pression est réelle.