Quelle est la meilleure période pour faire une croisière dans les Caraïbes ?
La saison des « je-suis-toujours-en-short-mais-j’ai-une-carte-de-crédit-en-feu » (décembre à avril)
Si vous rêvez de bronzer sous un soleil qui vous ignore poliment tout en évitant les ouragans comme un ninja évite une conversation awkward, décembre à avril est votre délire. C’est la haute saison : les prix montent plus vite que le niveau de la mer dans un film catastrophe, mais les plages ressemblent à des cartes postales (si vous ignorez les 500 autres touristes qui ont eu la même idée). Bonus : les cocktails coûtent le prix d’un rein, mais au moins ils ont des parapluies en plastique.
La saison « on a un budget et un kite-surf » (juin à novembre)
Vous aimez les promos, les nuages dramatiques et le frisson de dire « et si un ouragan arrivait, hein ? » en rigolant nerveusement ? Juin à novembre est fait pour vous. Les croisières sont tellement moins chères que vous pourrez presque acheter un palmier en souvenir. Attention toutefois : prévoyez un imperméable stylé et une volonté de fer pour affronter les averses tropicales (ou pour disputer un match de ping-pong contre une rafale de vent).
- Avantages : Prix en soldes, moins de monde pour vous piquer votre transat.
- Inconvénients : La météo joue aux dés. Parfois, elle mise sur « déluge biblique ».
Les mois « chut, c’est notre secret » (mai et novembre)
Si vous voulez éviter à la fois les familles surexcitées et les nuages en colère, glissez-vous en douce en mai ou novembre. C’est l’entre-deux où les prix baissent comme un pantalon trop large, le soleil est encore un peu timide, et les ouragans sont trop occupés à regarder Netflix pour vous embêter. Idéal pour ceux qui aiment dire « j’y étais avant que ça ne devienne cool » sans mentir.
Astuce pro : En novembre, partez après la Toussaint. Les décorations d’Halloween sont rangées, mais l’esprit « économies » rôde encore comme un fantôme bienveillant.
Quel est le prix moyen d’une croisière dans les Caraïbes ?
Entre le paquebot en or massif et le radeau de survie
Le prix moyen d’une croisière dans les Caraïbes, c’est un peu comme chercher un trésor pirate : ça dépend si vous visez le coffre en diamants ou une vieille carte mouillée. Comptez entre 800 € et 3000 € par personne pour 7 jours, selon que vous préférez une cabine intérieure (alias « le placard à balais luxueux ») ou une suite avec balcon privé (où vous pourrez crier « Je suis le roi du monde ! » sans que personne ne juge).
Les variables qui font danser le prix (comme un limbo sous un cocotier)
- La saison : En période de vacances, les prix grimpent plus haut qu’un perroquet sur un rhum arrangé. En basse saison (surtout pendant la saison des pluies), les promos débarquent – mais prévoyez un parapluie résistant aux ouragans de déception.
- La compagnie : Certaines vous offrent des serviettes en forme de cygne, d’autres… un bout de papier toilette en origami. Les croisières « luxe » démarrent à 2000 €, les « économiques » à moins de 1000 €. À vous de choisir entre le caviar et le hot-dog nautique.
« Et les extras ? » demanda le capitaine en cachant son porte-monnaie
Le prix affiché est souvent un mirage tropical. Ajoutez :
- Les excursions : Nager avec des tortues ? 50 €. Prendre un selfie avec un iguane ? 20 €. L’iguane sourit rarement, mais c’est inclus.
- Les boissons : Le cocktail « pailleté à l’ananas » coûte le prix d’une île privée. Optez pour le forfait illimité… ou faites ami-ami avec le barman en lui racontant des blagues sur les requins.
En résumé, prévoyez un budget qui oscille entre « j’ai vendu mon vélo » et « j’ai hypothéqué ma collection de coquillages ». Et surveillez les promos : parfois, une croisière à 600 € surgit comme un dauphin joueur. Juste avant qu’elle ne replonge dans l’océan des algorithmes.
Quels mois dois-je éviter pour une croisière dans les Caraïbes ?
La saison des ouragans : quand la météo décide de jouer au bowling avec votre paquebot
Si vous rêvez de naviguer en paix, évitez août, septembre et octobre. C’est la période où Dame Nature sort ses jouets préférés : ouragans, tempêtes tropicales et autres « surprises » aériennes capables de transformer votre cocktail en tsunami miniature. Imaginez un concours de « qui soufflera le plus fort » entre le ciel et l’océan… Spoiler : vous perdrez à tous les coups. Même les poissons préfèrent rester chez eux.
Mai et juin : la promo « pluie offerte à vie »
Ces mois sont comme ces soldes alléchants… mais où on vous vend un parapluie en kit. Les averses caribéennes ne sont pas timides : elles s’invitent 15 fois par jour, histoire de vérifier si votre crème solaire est waterproof. Vous vouliez bronzer ? Vous finirez en mode « escargot dans une flaque ». Et n’espérez pas fuir : les nuages ont un abonnement premium à votre GPS.
- Évitez fin décembre à janvier : les prix flambent plus vite qu’un feu de joie sur la plage, et les bateaux ressemblent à des boîtes de nuit… pour familles nombreuses.
- Février et mars : c’est le carnaval des touristes. Vous chercherez une chaise libre comme un trésor pirate, mais même le perroquet local a réservé sa place.
Novembre : le mois où tout le monde se demande « pourquoi ? »
Officiellement, c’est la fin des ouragans. En réalité, c’est la période où la mer teste son nouveau roller coaster « Vagues en solde ». Les croisiéristes courageux (ou étourdis) y goûtent pour « économiser », mais finissent souvent à pêcher leurs affaires dans le couloir. Conseil : si votre voisin de cabine porte une combinaison de surf au dîner, fuyez.
Quel budget prévoir pour une croisière ?
Le budget de base : entre cabine intérieure et suite royale (ou comment éviter la faillite)
Prévoir un budget pour une croisière, c’est un peu comme essayer de compter les poissons dans l’océan : ça dépend si vous avez un filet à crevettes ou un sous-marin. Le prix de base varie entre 150€ et 1 500€ par personne pour une semaine, selon que vous optiez pour une cabine intérieure (littéralement un placard à balais avec vue sur… un mur) ou une suite avec baignoire en or massif et majordome nommé Jean-Kévin. Conseil pro : si votre porte-monnaie crie à l’aide, choisissez la cabine « aveugle ». Vous ne verrez pas la mer, mais vous sentirez son âme (et les vibrations des moteurs).
Les extras : là où votre carte bancaire prend l’eau
Le vrai jeu commence une fois à bord. Les « petits suppléments » s’accumulent plus vite qu’un château de sable face à une vague. Par exemple :
– Boissons : Un cocktail « Tropical Oblivion » à 12€, parce que l’eau du robinet est *trop mainstream*.
– Excursions : 80€ pour nourrir des chèvres sur une île déserte, activité présentée comme « authentique et immersive ».
– Wi-Fi : 20€/jour pour envoyer un message du type « Je suis en vie, mais ruiné. Bisous. »
Le timing : réserver tôt, tard, ou en criant « YOLO » dans le vent
Les croisiéristes aguerris vous diront de réserver 6 à 12 mois à l’avance pour des tarifs préférentiels. Les autres, eux, surfent sur les promos de dernière minute (l’équivalent nautique des chaises musicales). Mais attention : si vous achetez votre billet 48h avant le départ, vous risquez de partager votre cabine avec un inconnu… ou un pingouin (les compagnies ne précisent jamais *quel* genre de « climatisation polaire » elles proposent).
Et n’oubliez pas : le budget idéal, c’est celui qui vous permet de rentrer sans devoir vendre un rein sur eBay. À moins que le spa à bord ne propose un forfait « détox post-faillite » – auquel cas, foncez.
